Depuis les années 90, Max LÔ artiste sénégalais, arpente les scènes internationales, on le retrouve notamment en première partie de Burning Spear, Culture, Salif Keïta et de ses compatriotes Youssou'N Dour et Touré Kunda.
Polyinstrumentiste expérimenté, il maîtrise parfaitement l'art de combiner les percussions: djembé, balafon, tama (talking drum), sabar, bongos, congas...
Max LÔ a sans aucun doute fait son choix, dès l’âge de 9 ans, influencé par sa mère, chanteuse sénégalaise, il embrasse une carrière d’artiste et rapidement son nom et sa voix sont connus dans tout Kaolack, sa ville natale.
Son talent lui permet alors d’intégrer le ballet de Louga où il perfectionnera son chant, et apprendra à maîtriser la danse et les percussions. A 17 ans, Max commence à vivre de sa passion. Son groupe d’alors, Louga LÔ s'envole pour une tournée transafricaine et européenne.
A l’occasion d’une tournée en Europe, il découvre la France et décide de s’y installer. Il y enseignera les percussions et la danse africaine tout en poursuivant sa carrière artistique. Ce n'est pas sans regret qu'il doit alors quitter Louga LÔ.
Les rencontres ne se font pas attendre. On le retrouve parmi de nombreuses formations comme "Foutinké" le groupe de rock Niortais avec qui il enregistrera en 1992 le Titre “Koumbissa“ présent sur la célèbre compilation “NI Jah Ni Maître“. On peut reconnaître Max LÔ au coté du Chanteur "L'oranger" sur le titre "Taximan". ll crée le groupe "Saourouba" composé de 4 musiciens basés sur Poitiers et enregistre l'album "Saourouba". En 1998 , on le retrouve en première partie de "The Wailers", "I Jahman", "Lee Perry"... avec le groupe de percussions et de danses africaines "Bamba Mussram".
Depuis 2002, il est accompagné par une solide formation de Tours avec laquelle il enregistrera l’album "Balla aissa boury".